Blacky est plutôt grande, du haut de son mètre soixante dix, et elle est mince, pesant non loin de soixante cinq kilogrammes.
Elle a la peau plutôt pâle, presque blanc on dirait, contrastant avec ses longs cheveux d'une sombre couleur, bleu même tournant au noir bien des fois, elle fait des couettes avec, plutôt longues même si l'une est plus longue que l'autre, devant deux petites mèches tombant sur le côté de son visage, et une mèche lui traversant le front, une mèche lui tombant entre les deux yeux, deux grands yeux de couleur bleu, un bleu pleur, entre ceux là un nez, fin, bien courbé, en dessous une fine bouche, simple. Ce visage parait un peut froid, il n'y a pas beaucoup d'émotion qui passe, ce qui pourrait faire qu'elle est dur à cerner.

Un cou assez long mais caché par le haut de son manteau, celui-ci étant plutôt long lui arrivant à mi mollet, ayant des lignes blanches à certain endroits, comme sur les manches ou dans le dos, d'ailleurs dans le dos il y a une étoile blanche. Son corps bien courbé, malgré le fait qu'elle n'a quasiment pas de poitrine, elle est quasiment plate oui, celle-ci étant couverte par un simple soutien-gorge noir/bleu sombre. Son ventre mince.

Un short de couleur noir/bleu sombre, bien cour ne lui arrivant même pas à mi-cuisse, avec une ceinture blanche/grise, d'ailleurs le short est un peut déchiré en bas sur le coté là où il y a la couture. De longue botte avec un assez long revers, dont les bords sont blanc, une grosse semelle grisâtre. Elle à deux cicatrises, une vers la poitrine et une sur le haut du bassin. Quand à la flamme bleu sur son œil gauche c'est quand elle utilise ses armes (voir fiche technique.). Elle est très souvent armés, vous ne la croiserez quasiment jamais sans sabre ou sans son canon.

«Les ténèbres ne font que engouffrer la lumière, mais moi je ferais en sorte que la lumière reste vive même si je vient des ténèbres.»

Je me réveille, dans le noir, je me lève, je reste à l'endroit où je suis, avant de remarquer que je suis au centre de plusieurs corps inertes, je frissonne, je tremble, j'enjambe les corps avant de me diriger en courant vers la sortie, je tremble toujours, je me regarde du sang, sur mes mains, un peu de partout sur mon corps, je tombe à genoux avant de me replier sur moi même, les mains sur ma tête, terrifiée. Rien, c'était presque le néant dans mes souvenirs, ma tête, je me souvenais ce qu'il s'était passé peu avant que j'entre dans une colère noir, mais après, c'est comme si je m'étais évanouis.

Enfin, bon, là pour le coup, cela doit être bien flou pour les lecteurs, mais ne vous inquiétez pas, je vais éclairer votre lanterne.

Revenons un peu au début de mon histoire...

«Je crois que... Je t'aime, mais je n'en ais pas la courage pour te le dire»

Lorsqu'elle est née, on pouvais voir un avenir assez prometteur mais dangereux. Un père presque fou, et une mère malade, elle était presque seule avec son frère. La mère mourut après quelques années. Quand au père lui, on l'avait foutu à l'asile, et le frère lui est partit depuis longtemps, mais on ne sait pas si il est toujours vivant. Seule... Si seule. J'avais peur, je vivais dans la peur, je vivais dans les ténèbres, je restais seule, dans un coin, assise. Jusqu'à ce que, un jeune homme, ayant à peu près mon âge, me tendit la main, il avait les cheveux courts, enfin ils étaient attachés et blond, les yeux bleu avec des reflets verts, la peau pâle, et il était un peu plus grand que moi, et avait un visage très joyeux. J'hésitais, puis d'une main un peu tremblante, je pris la sienne, et il me leva, et me serra dans ses bras. « Tu dois être seule, et avoir un passé assez dur » dit-il, je sentis mon ventre se tordre un peu, malgré que je retenais mes larmes, une larme coula quand même sur ma joue, quand je sentis une main se poser sur ma joue, essuyant ma larme « Ne pleur plus, et viens avec moi ». Il me pris la main, et m'emmena avec lui. Nous marchions un moment, je ne savais pas ce qu'il me voulait, mais quelque chose chez ce garçon m'attirais, une fois arrivé, il me présenta à ses parents et amis, tout avaient une conversation classique de présentation de chacun, quoi de plus banale. Je resta chez eux quelque temps.

Quelques jours passe, j'apprends que mon père va être libéré de l'asile, je ne savais pas quoi ressentir, en tout cas je vais non loin de chez moi, Akio, celui qui m'as mené chez lui vient avec moi. Arrivé, je vois mon père, je m'approche, je lui parle, il est parfaitement calme, il était bien habillé, bref, on ne pouvais pas le prendre pour un fou. Je le mène chez Akio bref, une vrai petite famille maintenant. Quelques jours encore passe, Akio m'emmène, seul lui et moi, puis il me sert dans ses bras, je lève la tête, il me regarde, de ses yeux bleus. « Cela faisait moment que je t'observais, je t'ai invité chez moi, mais maintenant je me compte que je ressens quelque chose chez toi » il marqua un temps de pause avant de reprendre « Je croix que je t'aime »dit-il. Je ne savais pas quoi répondre, mon cœur battait à allure folle, que répondre? Que dire? Je ne savais pas, un « Je t'aime aussi »sortie tout seul, toujours en le regardant, un sourire s'afficha, puis il m'embrassa, je ferma les yeux, ses quelques secondes où il m'embrassait, j'aurais voulu qu'elles ne s'arrêtent pas. Nous retournions chez lui, le tenant par la main, comme une amoureuse.

« Non, je ne veux pas... »

Quelques temps plus tard, un soir, nous dinions tous ensemble, moi, Akio, mon père et les parents de Akio, nous parlions, de tout et de rien, on rigolait, jusqu'à aborder un sujet qui me mit rapidement en colère, mais j'essayais de la contenir...Alors, tu fous quoi? Tu veux pas te mettre en colère ou quoi?Cette voix, on aurait dit que c'était moi, mais ce n'était pas moi, mais qui pouvais bien être, à l'extérieur le sujet continuait, jusqu'à ce que je ne puisse plus contenir la colère, je frappa de poing sur la table, puis plus rien, c'est comme si je m'étais évanouis, et pourtant.

Voilà, je pense que j'ai tout résumé, passons maintenant à la suite.

Je marchais, non j'errais, dans ce monde qu'est le crépuscule, après quelques jours, quelques mois, ou je m'entrainais, développais des techniques, je décida de partir pour le monde des humains, combien de temps, ça je n'en avais aucune idées, mais je partais.

Arrivée dans ce monde, il fait nuit, première fois que je vois ce que l'on appelle «Lune», un ciel, noir, tout du moins bleu foncé par endroits, puis, je vais dans Hyrule, allant un peu partout et combattant.